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L’Actu’Garenne N°39 : Gypaète, Mouette, Aigrette et leurs amis !
Actu'Garenne

L’Actu’Garenne N°39 : Gypaète, Mouette, Aigrette et leurs amis !

ACTUALITE DU PARC



Nouveau pensionnaire
• Arrivée : Le 15 octobre dernier, un nouveau mâle Gypaète barbu est arrivé au parc animalier.
• Origine : Né à Hanovre en Allemagne, il a ensuite été accueilli au centre de reproduction d’Haringsee en Autriche.
• Transfert : La Fondation pour la conservation des vautours (http://www.4vultures.org/) a décidé de transférer cet oiseau en Suisse.
• Installation : Après une escale au centre Asters à Sallanches en France, ce nouveau mâle est arrivé à Le Vaud en excellente santé.
• Objectif de reproduction : Après quelques jours en isoloir pour se reposer du voyage, il a été présenté à Althia. Une entente s’est installée, et l’équipe espère qu’ils formeront un couple reproducteur à succès.
Aramis – Althia

NOUVEAUX PENSIONNAIRES (2016-2018) ET NAISSANCES



• Depuis 2016, le parc présente de nouveaux animaux sauvages et domestiques de Suisse.
• Parmi ces nouveaux pensionnaires figurent le Castor d’Europe, le Cerf élaphe, la Marmotte des Alpes, la Loutre d’Europe, le Mouton de Saas, le Cochon laineux et la Chèvre bottée.
• Des naissances ont également fait la joie de l’équipe et des visiteurs, incluant des agneaux, lapereaux, poussins, bouquetins et lynx.

Historique des gypaètes de La Garenne



• Athos (Premier Mâle) : L’histoire de La Garenne avec le Gypaète barbu a débuté en 1972 avec l’arrivée d’un tout premier mâle nommé Athos.
◦ Six ans plus tard, une femelle l’a rejoint pour un programme de reproduction en captivité destiné à la réintroduction de l’espèce dans la nature.
◦ Après de longues parades, ils ont construit un nid avec de la laine de mouton et des brindilles de bois.
◦ En 1980, les deux premiers oisillons ont été élevés avec succès. Douze autres poussins sont nés les années suivantes, au rythme d’un petit par an.
◦ Certains des oisillons ont été transférés dans des centres de reproduction et d’autres ont été relâchés dans les Alpes.
◦ Athos, décédé en 2015 à l’âge de 47 ans, a été le père de 26 oisillons. Sa valeur scientifique était primordiale, car il a été le plus grand contributeur génétique de la population naturelle alpine.
• Première Femelle : La première femelle est décédée en 1995, au bel âge de 32 ans.
• Althia (Seconde Femelle) : Une seconde compagne, Althia, née en 1990 au zoo de Berlin-Est, a été accueillie en 1995 et est toujours présente au parc.
◦ Althia a déjà donné naissance à 13 oisillons.
• Hélios (Mâle transféré) : En 2016, un nouveau mâle nommé Hélios a rejoint Althia. Incapable de se reproduire, il a été transféré au centre de reproduction d’Haringsee, rejoignant d’autres gypaètes à la retraite.
• La Garenne s’est engagée pour la conservation et la réintroduction du Gypaète barbu depuis plus de 30 ans.

Disparition et retour en Suisse



• Le Gypaète barbu a souffert d’une mauvaise image et a été persécuté jusqu’à disparaître de l’ensemble des Alpes en 1913.
• Aujourd’hui, l’espèce est protégée et réintroduite.
• Une population de plus de 200 Gypaètes barbus est de retour dans les Alpes, principalement localisée entre la Suisse, la France et l’Italie.
• Cependant, seulement une trentaine de couples se sont formés et se reproduisent naturellement, un chiffre jugé trop bas pour considérer le vautour hors de danger pour les décennies à venir.
• Les menaces principales restent l’empoisonnement et le braconnage.

UNE PHOTO, UN REGARD

QUIZ


QUIZ ! Pour quelles raisons le Gypaète barbu trempe-t-il ses plumes dans de l’argile riche en fer ?

Réponse à l’Actu’Garenne N°38



• Question (implicite) : Pour les arbres, quels sont les avantages de posséder une écorce ?
• Réponse : Les arbres possèdent une écorce solide pour se protéger contre le gel, les incendies, les maladies et les parasites. De plus, de nombreux insectes comme les coccinelles s’installent parfois sous l’écorce pour y trouver un abri afin de passer l’hiver.
stars

Par : l'équipe de la Garenne

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